Ces photos sont un petit échantillon de mon merveilleux séjour au Radjasthan, en novembre dernier. Je ne propose ici que les photos en rapport avec la bonne bouffe et les marchés.
Pourquoi ne pratique-t-on plus la consigne pour les particuliers en occident? C'est pourtant beaucoup plus écologique que le recyclage, et si les bars et cafés le pratiquent, ça ne doit pas être si cher que ça. Une question d'hygiène, peut-être...
Bikaner, je crois, juste un peu au-delà des ruelles folles aux boutiques adressées aux touristes. Ce marché est un lieu très calme en comparaison.
Zut, je m'étais pourtant promise de me souvenir au moins du nom de cet étrange légume vert. Poétiquement, je pourrais l'appeler okra kaffir. Il a une forme globale d'okra, mais la granularité du citron vert kaffir.
Rien à voir avec des épices, ce sont des sacs de ciment.
Piment, coco, ail, une belle trinité.
Ah, je n'en aurais pas demandé tant, un four tandoor qui s'offre à mon objectif. C'est vrai, il est encastré, donc on ne voit pas grand chose. Oh well!
Je m'amuse de ces fautes d'orthographe que je trouve si poétiques et j'espère ne pas montrer de condescendance.
De l'ail, des oignons, de l'ail, des oignons... quelque patates...
Un classique étalage d'épice, élément phare du journal de vacances complet.
Nine spice, ou le père des quatre et cinq épices.
Je veux un stand comme celui là! Pour vendre ma petite vaisselle!
...J'irais acheter de la corde...
Changement de sujet, merveilleux p'tit-déj continentalo indian-brit contemporain.
Jus de coco frais, hmm!
Somhf (?) amélioré.
Duke's soda with lemon.
The Mumbai hipster's hangout in Bandra. Comment le dire avec autant de conviction en français?
Wonderfull home cooked meal. J'ai mangé chez une famille d'extrêmement gentils intellos/profs/scientifiques. Le cuisinier à domicile nous a préparé la spécialité de la maîtresse de maison, elle même originaire d'Agra, ville du Taj Mahal. C'est un concept que je trouve un peu étrange, mais l'accueil a été des plus chaleureux et c'est un honneur de manger de la cuisine radjasthani ou tout simplement indienne ailleurs qu'au restaurant.
Au dessert, sitaphal ice cream. Fruta de Conde au brésil. En français? Je ne sais pas. Le fruit de la déesse Sita? En tout cas, miam miam!
Le tri et le nettoyage des crevettes au marché aux poissons de Mumbai. La lutte fut acharnée pour arriver à ce P#@%$^ de marché. D'après les locaux, il n'existe pas, il n'est pas ouvert au public, il est fermé en ce moment, bref, personne ne voulait nous y emmener. Pourtant il est bel et bien là, en voici la preuve. Vu le spectacle, mais surtout l'odeur, je comprends qu'on dissuade les touristes d'y aller. L'endroit consiste en un marché couvert normal, spécialisé dans le poisson, mais pas seulement, avec autour stand après stand de trieurs de crevettes, dont pas mal d'enfants.
Adjacent au marché aux crevettes, un marché normal avec les belles épices dignes de l'agence de voyage.
Par contre, le marché aux fleurs constitue une grande fierté.
Il passe même à la télévision.
Les employés travaillent dans des conditions misérables, mais gardent toujours le sourire aux lèvres, surtout quand ils peuvent parler anglais, soit avec les touristes, soit avec les Indiens de la haute société.
Décidément, c'est un pays très contrasté et d'une richesse indéniable. Cela ne vaut pas une bonne conclusion mais sera la mienne pour aujourd'hui. J'espère en avoir fait rêver certains et réfléchir d'autres.