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FUJIIA

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13 mars 2012

Gomashio et pesto de persil. Une petite étude des goûts…

Je ne veux pas prétendre tout connaître dans le domaine très vaste qu'est la gastronomie. En aucun cas je ne pourrais faire pareille chose! Comme pour tous les domaines de la vie, tant qu'on n'est pas dans la tombe, on apprend toujours.

Par ailleurs, quand on traîne sur les blogs de ci de là, on peut avoir très vite fait de se demander où on a bien pu hiberner ces dernières années. Hors il ne faut pas se sous estimer. Chers lecteurs, c'est valable pour vous aussi. Parfois il faut aussi se creuser les méninges, car on a peut-être entendu parler, voire mangé un ingrédient ou un plat, et puis, on a oublié. Sans jamais essayer de s'en servir, ou d'en reproduire la recette. J'insiste, ne pas se sous estimer. C'est le cas pour moi et pour le gomashio. Avant d'en dire plus et ayant de vagues notions de japonais, je vais d'abord taper sur ceux qui l'écrivent gomasio. La syllabe "si" n'existant pas en japonais, il faut dire et écrire "shi". Donc le terme en -sio est toléré et utilisé à tord, même par les marques. Je suis chiante, non? Si en français, les règles peuvent être transgressées (ex: bonbon), ce n'est pas le cas pour le japonais. (note: mon vérificateur d'orthographe me corrige mon gomashio en -sio, et ensuite me propose gommassions à la place de gomasio. Décidément, on ne peut pas faire confiance aux machines!)

Toujours est-il que je découvre, ou re-découvre le gomashio, et que si l'on en croit certaines blogueuses, c'était déjà ringard en 2006 (enfin, ça c'est mon interprétation…). Mais je ne vous ai pas sonné(e)s! Et si je veux l'utilliser maintenant? Même si ça ne fait pas partie des tendances de 2012? Hein? Vous m'en voudrez pas trop d'être aussi ignorante? Et ringarde?

Pour ceux qui sont ignares comme moi, et je suis sûre qu'il y en a plein, le gomashio est un condiment constitué de graines de sésame et de sel de mer. À ratio variable, on les fait torréfier ensembles pour que la science de la nutrition millénaire fasse son travail. Le sel aide à dégager les nutriments du sésame et vice et versa. On peut acheter le gomashio en épicerie bio pour plus cher qu'il ne vaut, ou on peut le faire soi-même en un rien de temps. Et contrairement aux mochi japonais qui sont sensés être très faciles à faire, mais qui peuvent s'avérer catastrophiques, le gomashio est VRAIMENT facile à faire. Torréfier ensemble, puis broyer ou mixer ou pilonner ensemble, mettre dans un bocal propre et sec et ranger à côté du sel et du poivre, ou ailleurs.
Ça va, c'est assez simple?

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Partant de ce constat (la simplicité de l'ouvrage), j'en profite pour me prendre pour la savant(-e)-fou(-lle) des goûts, m'inspirant d'informations glanées sur des sites verts et divers. Trop nombreux pour les citer. D'autant que là, je suis en plein dans l'expérience scientifique, et je ne voudrais pas mettre la faute sur de pauvres avant-gardistes de l'alimentation si je m'en inspire pour faire n'importe quoi. Lorsque je m'inspire concrètement de quelqu'un ou de quelque chose, je le signale toujours. Je me défend donc d'avance pour quelque accusation future et potentielle.

Voici donc que je me mets dans l'idée de faire un pesto. Démunie de recette et ignorante dans le domaine! Oui. Je concoctai donc une pâte de persil à l'allure de curry vert, mais au goût de persillade (ce qu'on met dans les escargot, les coques…). Pas assez d'huile, du persil à la place du basilic, le gomashio remplace le sel et les pignons. L'ail est là, et pour le parmesan tant pis. Sauf que sous-estimant le pouvoir salant du gomashio (rappelez-vous, je suis une ignorante!),  et ayant déjà mis du sel pour piler l'ail, je me retrouve avec un pince lèvre, comprendre dix fois plus salé que les dernières chips du fond du paquet!.

Si je fais du pesto, on pourrait s'attendre à de belles linguine fraîches, mais ce serait oublier à la fois mon ignorance et le mode savant-fou dans lequel je semble errer.

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J'ai parfois tendance à additionner les protéines. Le jambon, par exemple, accompagne merveilleusement bien les œufs. Ce n'est ni sain ni écologique, et pourtant c'est si bon dans un croque-madame! Dans un élan d'amélioration du monde et de ma personne, je saute le jambon pour aujourd'hui et mets un peu de pesto sur l'œuf. La salade est plus souvent verte et/ou de concombres d'habitude, et en beaucoup plus grande quantité que sur la photo, mais là encore l'expérience scientifique était de mise. Radis, carotte, vinaigre balsamique, huile d'olive, échalote et gomashio (une fois qu'on l'a fait, il faut bien l'utiliser!!). Je me rends compte en notant tout ça que ça n'a pas grand chose d'extraordinaire, et en même temps si (ne pas se sous-estimer! ter).

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Toujours dans l'optique d'essayer de nouvelles choses et comme mon pesto est plus pâteux que sauceux, je tente de faire une vinaigrette à la moutarde et au pesto. La vinaigrette, c'est mon dada. Or, je suis sûre que si je fais des recherches sur le sujet sur internet, je me sentirai trop nulle encore.

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Depuis que je suis petite, j'adore photographier la vinaigrette. Je n'ai encore jamais taché de graisse mon objectif, je touche du bois. Ici, à part que l'ail remplace l'éventuelle échalote, je me retrouve avec une vinaigrette somme toute normale, mais avec un goût de persil qui aurait "traîné" dans la sauce, autrement dit un goût que je n'affectionne pas particulièrement. Pour ce qui est du gomashio, il n'est ici qu'anecdotique, mais je saurai le mettre en valeur en petite touche finale dans le futur, pas d'inquiétude! Par contre, il s'avère que la plupart du temps je ne photographie pas mes plats ni ne note exactement ce que j'y mets (ils finissent toujours dans mon ventre, mais plus rarement sur le blog!!). Erreur, me direz-vous?! Et vous aurez raison! Pourtant j'ai recommencé à pratiquer le carnet pour noter idées en tous genre, mais il n'y a encore que très peu de note culinophiles dedans.

Note: ce petit interlude sert maladroitement à m'excuser de l'absence de recette, et ce pour tous les plats dont je vous ai parlé aujourd'hui!

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Puisque j'étais lancée dans les expériences, j'ai relevé le défi des œufs pochés! Eh oué! (ça y est, si je me mets à écrire des "eh oué" à tout va, à quand les lol et les mdr. Mais "eh oué" au moins ça rime avec "pochés"!) Une réussite, si vous voulez mon avis! Le blanc bien cuit mais pas caoutchouteux et le jaune bien liquide!!!!! Yum Yum!

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Ici s'achèvent les travaux pratiques. À une autre fois pour je ne sais quelle nouvelle lubie. À suivre…

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2 mars 2012

Projet Photo 52 - thèmes 8 et 9: Lumière, Trois

Je commence par le thème 9: trois. (pour ceux que ça ennuie, lire seulement après l'image)

Quelle embrouille dans les chiffres! D'abord on entre dans le mois de mars, un plus deux du douze de 2012, ça fait trois. Si on rajoute un zéro à côté du trois, c'est mon nouvel âge. Le thème neuf, c'est trois fois trois.Trois est le plus petit nombre premier, pour ce qui est des maths, Wikipedia en a tout un rayon. Si je me lance dans la graphie de ce chiffre, je serais toujours en train d'écrire le 2 mars 2013.

Nombre de civilisations ont des mythes sur les chiffres et considèrent plus particulièrement le chiffre trois. Dans une démarche aussi philosophique que religieuse, le trois, c'est la perfection. On pense bien sûr à la sainte trinité du dogme chrétien. La troisième voix est celle du médiateur dans le conflit d'idée entre deux personnes ou groupes.

Nous comptons trois dimensions dans notre univers, trois couleurs primaires. Trois marches du podium, trois âges de la vie, trois mousquetaires, haut comme trois pommes. Pour ceux qui, comme moi, ont wiki-étudié l'imagerie du chiffre trois, ils reconnaîtront la synthèse simpliste que j'essaie d'écrire.

J'en conclus que d'une certaine manière, trois, c'est la totalité, la perfection, un point de départ sur une réflexion de l'Homme sur la vie, la terre, les choses… Un début de réflexion sur l'art. L'art étant en partie une manière d'exprimer la vie. L'art, celui qui dure dans le temps, fait souvent référence à d'autres formes d'art, la peinture dans la littérature, la poésie dans la musique, la photographie dans le cinéma ne sont que quelques exemples.

Et moi dans tout ça? Je me suis lancée dans un projet de photo. Je veux qu'il reste un projet de photo. Avec toutes les influences que je peux y inclure. Moi qui ne suis vraiment pas quelqu'un de spirituel, je me trouve forcée de réfléchir quand on annonce un  thème tel que "Trois". Et comme je suis un peu artiste sur les bords, sans être Une artiste, ladite réflexion se penche naturellement sur le rapport entre l'humain, ses mythes, et l'art.

Tout ça peut paraître bien prétentieux au vu de la photo que je présente. Elle est légère. On peut être philosophe et ne pas se prendre trop au sérieux! Réfléchir et voir la vie au second degrés!

Ma première intention fut la suivante:
—Fabriquer un "trois" (dessin, sculpture…)     …………     1° œuvre
—Photographier ledit "trois"     ………………………...…     2° œuvre            (quand je dis œuvre,
—Retoucher, voire repeindre le "trois" photographié  …     3° œuvre      je veux dire ouvrage, hein!!?)

Ici, la photo est un des outils de la représentation de la réflexion autour du chiffre trois.

Prétentieux, certes. Compliqué surtout. J'ai cherché à simplifier au maximum, car après tout, une image par semaine, on ne peut pas faire des miracles, il faut garder de l'énergie pour faire durer le plaisir pendant un an!

Pour répondre à certaines questions, bien que j'essaie de ne pas trop révéler ma vie privée, il est un grand enfant qui me sert d'amoureux, mais ensemble, nous n'en avons pas. Tous les jouets ou figurines que je montre en photo ne sont que des symptômes de névrose infantile (c'est grave, docteur?), ou parfois (mais beaucoup plus rarement) ils appartiennent simplement aux deux monstres que je considère comme mon p'tit neveu et ma p'tite nièce (monstre, c'est affectueux, hein!!?).

Si vous m'avez suivi jusque là, vous méritez bien de voir la photo!!!!!

Trois (fois trois)-800

J'ai ressorti mon Canon EOS 350D, je crois que j'ai la palme du plus vieux reflex Canon à trois chiffres. Je ne l'avais pas du tout mis aux oubliettes, rassurez-vous! C'est simplement que j'ai depuis peu un compact qui permet tous les réglages manuels, que je peux emporter dans mon tout petit sac à main (je peux pas vraiment fermer le sac, mais bon!…). Mais parfois, le piqué de l'image d'un reflex me manque, mais surtout, ce qui me manque, c'est mon objectif macro 60mm. Si je l'aime, ce n'est pas pour son bokeh. Je suis très myope et la macro, ben c'est comme ça que je vois le monde!!!! Pour info, j'ai fait des essais à f16, f32, mais un objectif macro, c'est un objectif macro et impossible de mettre les trois tortues sur des plans différents si je veux que les trois soient nettes. Donc, tant qu'à faire, je reviens à f2.8 et je baisse les ISO un p'tit coup! Changer de classe d'appareil, c'est aussi changer ses habitudes.

Les trois photos ont été prises au même endroit. Une étagère blanche contre un mur blanc. Pour les deux premiers clichés, les trois uniques feuilles de feutrine que je possède (on sait jamais, si je veux coudre un truc!), une bleue, une verte, une grise.

Voilà, je raconte bien assez ma vie comme ça, sacré projet photo 52!

 

Thème 8: Lumière

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La ville scintille de mille éclats, mais je dois suivre la cadence de ma môman qui marche devant. Je prends coute que coute des photos tout en galopant, la molette au cran "auto". Le cadrage n'est pas au top ici, "peut faire mieux", comme m'ont toujours dit tous les profs. Je choisis cette photo pour sa pertinence au thème. Je doute d'un truc. Si j'avais attendu cinq minutes que le lampadaire s'allume, son ombre aurait-elle filé?

Voir les autres photos que j'ai retenues dans mon album PP52, ou encore, jeter un coup d'œil à l'album Paris sera toujours Paris

27 février 2012

Daring Bakers: Quick Breads, loaves or muffins

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The Daring Bakers’ February 2012 host was – Lis! Lis stepped in last minute and challenged us to create a quick bread we could call our own. She supplied us with a base recipe and shared some recipes she loves from various websites and encouraged us to build upon them and create new flavor profiles.

L'hôte du défi des Daring Bakers du mois de février 2012 était – Lis! Lis est intervenue à la dernière minute pour nous défier de créer des "quick breads" à notre image [la traduction de quick bread pourrait être le sujet d'une thèse ou d'un doctorat, il s'agit d'un type de gâteau réalisé avec de la levure chimique, la référence étant faite à la levée, au gonflage qui se fait pendant la cuisson, contrairement au pain, qu'il soit au levain ou à la levure de boulanger, pour lequel un temps de repos est nécessaire à la levée. Cependant, "gâteau" serait une traduction bien trop simpliste]. Elle nous a fourni une recette de base et a partagé des recettes de différents sites qu'elle aime et nous a encouragé de nous appuyer dessus pour créer de nouveaux archétypes de goût (oui, là, niveau traduction, je m'enflâme un peu).

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Yet another month of simple baking! Give thanks to the all purpose flour! Or to Lis whom I don't know, but she sure is funny when she explains the dos and don'ts of quick breads! A non baker who manages to co-keep a huge community busy with the Daring Kitchen, even as things of life throw spanners in her works (I'm trying to make mine an expression I've never heard before, bear in mind, I'm a native French speaker).

Encore un mois de simple boulange! (ce mois-ci, la traduction, ce n'est pas trop ça!!) Prions pour la sainte farine blanche (là, vraiment, j'improvise)! Ou pour Lis que je ne connais pas, mais elle est bien marrante quand elle explique le pourquoi du comment des quick breads (traduction plus qu'approximative)! Une non pâtissière qui co-mène une communauté importante avec la Daring Kitchen, même lorsque les choses de la vie lui mettent des bâtons dans les roues.

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Last month, the scones/biscuits, were the perfect treat to put me back on a baking track, so to celebrate my first year as a daring baker (and a big birthday, but that's none of your business!!!!!), I went wild with my quick breads. (Again, since I'm French, when I hear quick bread, I have to think for a second and make sure we're not talking about sweeetbreads and vice versa!!) No offense, Lisa, as much as I enjoyed reading your pdf, I studied my way through various recipes, on the web and on my bookshelf.

Le mois dernier, les scones/biscuits étaient la parfaite gourmandise pour me remettre dans le bain de la pâtisserie, donc pour célebrer l'anniversaire de mes un an de Daring Bakers (et un anniversaire important, mai ça, ce ne sont pas vos oignons!!!!!), je me suis enflamée avec ces quick breads. Sans vouloir vexer Lisa, j'ai eu beau lire avec grand plaisir son pdf, j'ai étudié d'autres possibilités de recettes, sur le net et dans mes bouquins.

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One of the rules to follow was that the quick breads were to be prepared in less than thirty minutes. Not to be taken too seriously, but still… In any event, the chocolate muffins were made in about twenty Rachel Ray minutes. The kiwi in even less time.

Une des règles à respecter était que les quick breads soient préparés en moins de trente minutes. Règle à ne pas trop prendre au sérieux, mais bon… Au final, les muffins au chocolat ont été faits en vingt minutes, façon Rachel Ray. Ceux au kiwi, en moins de temps.

muffins

And now for the duel: double chocolate on one side, and kiwi-white chocolate on the other!

Place au duel: double chocolat d'un côté, et kiwi-chocolat blanc de l'autre!

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Rose

The chocolate was as decadent as it sounds. I used the recipe for Chocolate muffins on the Joy of Baking website. Instead of buttermilk, I added a little lemon juice to the regular milk and let it sit while I prepared the rest of my ingredients. Instead of the baking powder/baking soda mix, I used one packet of Alsa chemical baking powder. And I put 200g of dark chocolate that I cut up with a knife, and was a tadbit disapointed that most of it melted in the cooking process. When I think muffins, I think double chocolate, there is just no way around it. And this recipe is pretty darn good!

Ceux au chocolat sont aussi gourmands que n'importe quel dessert au chocolat!!!! J'ai utilisé la recette des chocolate muffins du site Joy of Baking. À la place du babeurre (lait fermenté), j'ai mis un peu de citron dans du lait demi-écrémé et laissé reposé le temps de préparer le reste des ingrédients. Au lieu d'un mélange de bicarbonate de soude et de levure chimique, j'ai mis un sachet de levure chimique. Et une tablette de 200g de chocolat noir coupé au couteau, qui, à mon grand regret ont presque entièrement fondu à la cuisson. Quand je pense muffin, je pense d'emblée double chocolat et c'est tout c'est comme ça. Et cette recette est assez bonne!!!

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Canigou

For the kiwi-white chocolate, I used a recipe from the book 750g de plaisir - Gourmandises.

For 9 small muffins or six big ones:

2 kiwis
75g of white chocolate
1 egg
30 g of butter
2 tablespoons milk     (I didn't have heavy cream, so I replaced it with milk and added a little butter!!)
5 cl heavy cream
5 tablespoons flour
1/2 packet baking powder
2 tablespoons brown sugar (the recipe calls for "vergeoise", a dark sugar made from beets)

Pour les kiwi-chocolat blanc, j'ai utilisé une recette du livre 750g de plaisir - Gourmandises.

Pour 9 petits muffins ou six grands:

2 kiwis
75g de chocolat blanc
1 œuf
30g de beurre
2 CS de lait                    (je n'avais pas de crème, donc j'ai mis du lait et ajouté un peu de beurre)
5 cl de crème entière
5 CS de farine
1/2 sachet sachet de levure chimique
2 CS de vergeoise, ou, à défaut, de la cassonade

prep

Preheat the oven to 180°C
Peel the kiwis, cut in quarters and then in three. Perfect size: not too chunky, not too small. Break the white chocolate in little pieces.
Melt the butter and let cool a little.
In a large bowl, mix the flour, baking powder and sugar. In a smaller bowl, mix the melted butter, milk, cream and egg.
Mix the dry and wet ingredients together without overmixing. Add the kiwi and white chocolate.
Fill the muffin tins to two thirds. Cook for 12 to 15 minutes, depending on the size.

Préchauffer le four à 180°C
Éplucher les kiwis, les couper en quartiers puis en trois. À mon avis, c'est la taille parfaite, pas trop p'tit, pas trop grand! Couper le chocolat blanc en petit morceaux.
Faire fondre le beurre et le laisser refroidir un peu.
Dans un saladier, mélanger la farine, la levure et le sucre. Dans un plus petit bol, mélanger le beurre fondu, le lait, la crème et l'œuf.
Mélanger les ingrédients liquides et secs sans trop travailler l'appareil. Ajouter le kiwi et le chocolat blanc.
Remplir les moules au deux tiers. Cuire 12 à 15 minutes, selon la taille.

Ro)o)o)se

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19 février 2012

Projet Photo 52 - thème 7: Voler

Ceci n'est pas une histoire!...

Ce sont juste trois versions...

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-C'est bon, démarre
-Allez grouille!

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À réfléchir au thème de voler je pensais plus au fait de planer dans les airs, que ce soit par magie (pour un humain) ou pas (un oiseau, un avion...). J'ai pensé au patinage artistique, au ski... Je ne savais de toutes façons pas comment mettre tout ça en place, donc, à défaut, avec quelques Lego et un peu d'imagination, essayons de recréer des scènes de vol! Les deux premières n'étaient que des essais, c'est pour ça qu'on voit le canapé derrière, mais elles se sont quand-même avérées parmi les meilleures. Enfin, la dernière, le cambriolage, ce sera celle du récapitulatif.

Canon S95; ISO 100; f:2.8; 0,4s

Voir le tout sur Flickr

15 février 2012

Une fondue catalano-savoyarde

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Il y a quinze ans, j'aurais préféré mourir de faim plutôt que de toucher à un morceau de fromage. Bien des fois on m'a dit: "tiens, prends un babybel, ça n'a pas le goût de fromage". Horreur! C'est encore pire! Vous ne savez donc pas que le polyéthylène, ça ne se mange pas? Bon, j'exagère sans doute.

Fifteen years ago, I would have died, rather than to touch a piece of cheese. Many times I've been told: "here, grab a babybel, it doesn't taste like cheese". Total Disgrace! This is even grosser! Don't you know you're not supposed to eat polyethylene? Okay, well I may be exagerating.

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Mon frère et moi avions sur notre trajet pour aller à la maternelle une des crémerie-fromageries les plus renommées de Paris. Nous nous bouchions le nez et franchissions tout le pâté de maison en courant. Mon frère disait qu'il n'aimait pas le fromage parce qu'il se rappelait l'avoir "goûté dans le ventre de Maman". Moi, ben ma foi, je n'ai pas ce genre de souvenir, mais l'odeur était largement suffisante à me faire déguerpir.

My brother and I would walk by one of Paris' most renowned cheese shops on our way to Kindergarten. We would pinch our noses and run through the block! By brother used to say that he didn't like cheese because he remembered tasting it "in Mom's stomach". I, on the other hand, can't recall of such memories, but the smell alone was plenty to make me run away.

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Ensuite, à l'âge de raison, déménagement. Pas de crémerie sur le chemin de l'école, mais une sur le chemin de la boulangerie. Moins renommée peut-être, mais à l'odeur tout aussi putride, enfin, pour nous autres gamins gâtés et ingrats. Mon frère et moi devenions des pros de l'apnée.

Then, around the age of seven, we moved. No cheese shop on the way to school, one on the way the the bread shop. Maybe not quite as renowned, but with an equaly disgusting smell, at least for us spoiled and ingrate kids. My brother and I were mastering the art of apnea.

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Je n'ai pas été perdue seule dans le Sahara avec comme seul réconfort un morceau de maroilles. Non. J'ai été embauchée pour faire découvrir les galettes bretonnes aux Américains sur les marchés. C'était encore une toute petite entreprise et nous avions le droit de manger une crêpe après avoir rangé les éléments du stand dans le camion. Sachez-le, une crépière, c'est lourd! Et ce maudit parasol qui ne voulait jamais se fermer! On avait droit à une crêpe à condition de se la faire soi-même et sans dégueulasser le plan de travail. Mais quand il y avait des "mistakes", comme on les appelait en français (des erreur), interdiction de se préparer la crêpe de son choix! J'ai commencé par manger certaines crêpes avec du monterrey cheese ou de la mozza. C'est que j'avais faim! Un beau jour j'ai dû manger une crêpe au fromage de chèvre. Ce fût une expérience très pénible. Je m'efforçait de ne préter attention qu'aux pousses d'épinard, mais le goût du chèvre prenait le dessus. Plus tard, la "Cabrit" devint ma crêpe préférée.

J'ai plus d'un tour dans mon sac en ce qui concerne les histoires fromagères, mais je ne peux pas tout dévoiler. Alors peut-être une prochaine fois j'écrirai un autre billet sur le sujet.

Ce billet-ci est dédicacé à Benjamin, Isabelle, Thierry et Marina. (désolée Benjamin, le ragoût de peau de chèvre, c'est plus dégueulasse qu'un morceau de Comté!)

I didn't get lost alone in the Sahara with all but a piece of maroilles (very smelly cheese) to cheer me up. No. I was hired to introduce French crêpes to Americans on farmers' markets. It was still a small business and we were allowed to eat a crepe after putting the crêpe stand away. Know that a crêpe machine is very heavy! And the darn big umbrellas that would never close! We could have a crêpe so long as we made it ourselves and we didn't dirty the stand. But when there were "mistakes", as we called them with a French accent, no way Jose! So I started eating crêpes with monterrey cheese, or mozzarella. By Georges, I was hungry! One day I had to eat a crêpe with goat cheese. It was a very unpleasant experience. I tried to only pay attention to the baby spinach, but the taste of goat cheese gained the upper hand. Later, the "Cabrit" became my favourite.

I have many more cheese stories up my sleeve, but I can't reveal them all. Perhaps another day I'll write something else on this particular subject.

This post is dedicated to Benjamin, Isabelle, Thierry and Marina. (Sorry Benj, goat skin stew is much grosser that any cheese I can think of!)

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La recette de la fondue:

-par personne: 200g de fromage et 8 à 10 cl de vin blanc sec.
-Dans les fromages de base, nous avons Emmental, Comté, Gruyère. Dans les fromages plus prononcés, Abondance, Appenzeller, Beaufort. Pour les vins, en principe, un vin de Savoie: Appremont, Roussette d'Ayze, Abymes, Chignin

Dans ma recette:

-Emprunter un service à fondue

Les fromages:
-Emmental au lait cru IGP de Savoie
-Comté extra AOP juraflore doux au lait cru, affinage six mois
-Gruyère doux suisse AOP, affinage six mois
-Appenzeller surchoix au lait thermisé

Le vin:
-Marieta Côtes du Roussillon blanc, Domaine des Demoiselles 2009, le même qu'on boit avec la fondue

Mais encore:
-deux baguettes à l'ancienne (pour quatre), ça me parait résonnable
-1 gousse d'ail
-poivre
-noix de muscade
-Kirsch
-fécule de pomme de terre (au cas ou)

Déroulement de la recette:

-Couper le fromage en cubes.
-Mettre de côté la quantité de vin approximative, ça donne une idée.
-Frotter l'interieur du caquelon avec la gousse d'ail coupée en deux.
-Sur le feu (pas sur le réchaud de la table à manger), faire fondre petit à petit un peu de fromage dans un peu de vin, remuer fréquement, et ajouter au fur et à mesure plus de vin et plus de fromage, toujours en remuant.
-Un peu avant d'avoir tout mis, poivrer, râper un peu de noix de muscade, une touche de paprika, pourquoi pas.
-Ajouter un petit peu de Kirsch. Si la fondue est vraiment trop liquide, diluer un  peu de fécule (1 c.às.) dans le Kirsch au préalable.
-Servir aussitôt, poser le caquelon sur le réchaud.
-Touiller la fondue avec le pain à chaque fois que l'on se sert.
-Décider au préalable de si celui qui perd son bout de pain aura un gage ou non

-Servir avec une salade verte et éventuellement des cornichons et petits oignons.

 Sources: notrefamille.com; Parfums de Campagne; Cuisine des Alpes; Délices et Caprices; à bon entendeur (TSR)

Fondue recipe:

-Per person: 200g of cheese and 8 to 10 cl of dry white wine.
-Basic cheeses: Emmental, Comté, Gruyere. More pronounced cheeses: Abondance, Appenzeller, Beaufort. For wine, normally a Savoie wine: Appremont, Roussette d'Ayze, Abymes, Chignin

In my version:

-Borrow a fondue set

Cheeses:
-Emmental (unpasterized raw milk, Savoie IGP)
-Comté (extra AOP, Juraflore doux, unpasterized raw milk, six month maturing)
-mild Swiss Gruyere (AOP, six months maturing)
-choice Appenzeller (semi-pasterized milk)

Wine:
-Marieta white Côtes du Roussillon, Domaine des Demoiselles 2009, the same we will drink with the meal

And then some:
-two baguettes (for four, seems about right)
-1 garlic clove
-black pepper
-nutmeg
-Kirsch liquor
-potato starch (just in case)

Let's proceed:

-Cut the cheese (pun unintended!!) into cubes
-Measure up the wine you're going to use
-Rub the inside of the fondue pot with the halved garlic clove.
-Over heat (in the kitchen, not on the fondue warmer), melt the cheese and the wine little by little, stirring often, adding a little bit more each time until almost all the cheese has melted.
It little bit before you're finished with that, add pepper to taste, nutmeg and why not a dash of paprika
-Add a small shot of kirsch. If the cheese is very liquid, previously mix a tablespoon of starch to the Kirsch.
-Serve immediately on the fondue warmer
-Each time you dip a piece of bread, stir the mixture a little.
-Before eating, decide wether you want to follow tradition and forcefully dare whoever drops their bread in the cheese to do something they don't want to do.

-Serve with a green salad and pickled veggies.

Sources: notrefamille.com; Parfums de Campagne; Cuisine des Alpes; Délices et Caprice; à bon entendeur (TSR)

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12 février 2012

Projet Photo 52 - thème 6: Briller

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THÈME 6: BRILLER

Tout d'abord, noter que j'achète des fleurs beaucoup moins souvent que je ne l'aimerais. Ensuite, malgré les températures glaciales, je n'ai presque pas eu de neige dans l'épisode polaire qui n'en finit toujours pas. Au contraire, un soleil rayonnant presque tous les jours. Par contre, un vent sec et froid empêche de sortir, à moins d'une question de vie ou de mort, ou de travail, de courses… C'est donc chez moi, en pull et en chaussettes, que j'ai noté la lumière dure, mais brillante qui venait arroser mon joli bouquet de tulipes.

Bon, voilà, je crois que j'ai choisi. J'hésitais entre envoyer le "polyptyque" (voir galerie)(je ne sais même pas si ça se dit!!). Mais comme je n'arrive pas à décider de si j'approuve des montages pour le Projet Photo 52 ou pas, j'opte pour une photo seule. Celle-ci a des éléments parasites comme mon ordi ou les motifs et les taches de la nappe, mais j'aime la fougue créée par les tulipes qui vont dans toud les sens.

 

          6-02-Briller-800
Ladite photo: ISO100, f/2.8, 1/25s

BRILLER_1-800

BRILLER_2-800

BRILLER_3-800

     6-01-Briller-800Et là, c'est un autre essai à la brillance. Le vent qui fait remuer les feuilles de palmier à la lumière de la mi-journée à travers un store en lin. Ça sonne beaucoup mieux par écrit que ça ne donne en photo. Mais ça brille!!

ISO100, f/4.9, 1/30s

 

 

12 février 2012

Projet Photo 52 - thèmes 4 et 5: Avarice, Perspéctive

5/ PERSPECTIVE:

Bon, moyennement motivant, la perspective, pourtant je m'étais dit "chouette, un thème concret!!". Ben pas plus facile pour autant. Par peur de ne trouver le temps demain à la lumière du jour, une photo en ISO 1250 (c'est beaucoup, hein?), et même là, un éclaircissement massif sur photoshop.
Ma vision était celle d'une feuille bien blanche (donc bien éclairée) avec un cube simple en perspective façon géométrie. Ça a viré vers la perspective des cours de dessin. Là ou je suis vraiment déçue, c'est par rapport à la lumière qui est moche, et le bruit, le grain de l'image finale. Sinon oui, j'aurais pu un peu plus me prendre la tête sur les dessins!

4,5f; 1/13s; ISO 1250 (la première)

IMG_0531-1--800

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4/ AVARICE:

Le thème a mijoté dans ma tête depuis dix jours, mais la photo a été prise fissa. Vivent les soldes et mon besoin urgent d'un (deux) sacs à main! L'avarice ou la crise?

J'ai voulu jouer sur le jeu des poupées russes. D'ailleurs, avant d'avoir mes deux super sacs à main, j'ai pensé photographier des vraies poupées russes, mais je ne me rappelle plus en quoi cela avait un rapport avec l'avarice, mais je vous jure qu'il y en avait un!!

Pour finir, dans la dernière sacoche, bien cachées et en sécurité, que des pièces rouges!!!!!!!!

4-Avarice-petit

 

8 février 2012

creamy tuna et pain blanc

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Voici l'histoire de la salade de thon, telle qu'elle est déjà apparue maintes fois sur des tranches de pain en milieu de semaine. Pour preuve, précédemment déjà, tuna salad sandwich: radis et céleri. Le truc, c'est de méler traditions familiales et vidage de frigo. Petite, on ramenait oreos, bubblicious, boites de thon et mayonnaise blanche de chez mez grand-parents californiens, les Français ne connaissant (à l'époque très très lointaine!) que le thon à l'huile et leur mayo, même industrielle, semblait se composer d'éléments trop reconnaissables. Les repas "mal du pays" se composaient donc d'un sandwich thon/mayonnaise puis d'un verre de lait avec des oreos. À l'époque, on trouvait ces derniers à la boutique Thanksgiving, rue Saint Paul à Paris et la rue des Rosiers comptait plus d'épiceries et de stands de falafels que de boutiques de pret-à-porter (même si…).

La blogueuse culinaire que je ne suis sans doute pas devrait normalement sans cesse chercher de nouvelles saveurs et associations. Or, je vacille entre l'éblouissement de la photo, la flemme de cuisiner, la culpabilité vis-à-vis de la nutrition et de l'écologie, la jalousie face aux graphistes qui ont de super blogs, la grande limitation quant aux choix de matières premières dans ma p'tite ville actuelle et ma condition d'antisociale. Ces handicaps ne sont que façade et sont vite surmontables à force de courage et de bonne volonté. Mais celui qui se coupe la main aura beau être responsable de son malheur, il n'en sera pas moins handicapé.

Il est maintenant l'heure de répéter une devise:

je ne me plaindrai ni ne m'excuserai pas sur mon blog, je ne raconterai pas ma vie. je ne me plaindrai ni ne m'excuserai pas sur mon blog, je ne raconterai pas ma vie. je ne me plaindrai ni ne m'excuserai pas sur mon blog, je ne raconterai pas ma vie.

Ça c'est fait.

Pour en revenir au thon, je ne suis pas du tout mécontente de ce que je vais présenter. C'est juste que je ne fais pas vraiment ma propre promotion en répétant toujours le même disque. En même temps, je serai curieuse de savoir combien de personnes ont réellement lu mon précédent article sur le sandwich au thon et combien de personnes liront celui-ci!

Pourquoi diable est-ce que je décide de passer en mode panoramique sur mon compact? C'eut été bien mieux de garder un format unique! Pour info, la sauce rouge ci-après est de la sauce de piment. Le reste, ben c'est quand-même pas sorcier. Si il vous faut vraiment une recette, allez voir là-bas si j'y suis (oui, je suis méchante, comme ça!), et puis tout se joue au feeling ou selon ce que l'on a sous la main.

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radish-680

mayo&hotsauce

bread

tartine&litchi

This is the story of tuna salad, as it has appeared many times on a slice of bread in the middle of the week. As proof, the previous tuna salad sandwich: radis et céleri. The idea is to mix family tradition with fridge emptying. As a kid, we would bring back from my grand-parents in California oreo cookies, bubblicious gum, cans of tuna and white industrial mayonnaise. In these far away times, the French only knew tuna in oil and even their industrial mayonnaise seemed to be made of identifiable elements. Homesick meals were made of tuna/mayo sandwiches followed with a glass of milk and oreos. At the time, we could find the latter at the Thanksgiving store in Paris and the rue de Rosiers had more deli's and falafel stands than fashion boutiques.

Normally, the culinary blogger that I kind of am not should constantly be looking to find new tastes and associations. But I sway between the dazzle of photography, the laziness of cooking, the guilt towards nutrition and the environment, the envy towards the great blogs of some graphic designers, the lack in commodities available in my current small town, and my tendency to be antisocial. These handicaps are only a façade and can easily be overcome with some courage and good will. But he who cuts off his hand, even if responsible for his own misery, is no less handicapped.

I will now repeat some words of wisdom:

I will neither complain nor give excuses on my blog, I will not tell my whole life story. I will neither complain nor give excuses on my blog, I will not tell my whole life story. I will neither complain nor give excuses on my blog, I will not tell my whole life story.

Okay, that's done.

Now back to the tuna. I am not dissatisfied of what I'm presenting, but I ain't really helping my own promotion in always repeating the same recipes. But then, I'd be really curious to know how many people really read my first tuna sandwich post and also how many people will read this one!

Now why do I chose to switch to panoramic mode on my compact? It would surely have been better to keep the same format all along! For information, the red sauce above is hot sauce. The rest isn't that complicated. Just make do with what you've got.

27 janvier 2012

Daring Bakers: Back to basics: Scones (aka biscuits)

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Audax Artifex was our January 2012 Daring Bakers’ host.. Aud worked tirelessly to master light and fluffy scones (a/k/a biscuits) to help us create delicious and perfect batches in our own kitchens!

So I would like to start by thanking Audax for challenging us to bake something relatively simple in this post-holiday time of unkept resolutions. I didn't wait untill January to think to myself that I should be more serious about making the pastries every month. So today, I gladly present my little scones, I will call them biscuits (or maybe even bisquits) (as the anglophone part of me is from California), that were easy enough to make to let me worry about other resolution-type issues.

I only made one batch, and made it as simple as can be. But now I know how easy and fast it is to have them on my table, so the most important part is done (now I kinda wanna make what Americans call scones, otherwise known as rock cakes). I really had no idea about the denominations of these teatime delights, and was a little shocked at my ignorance, but am now aware what to look for in non American English language websites! Again, thank you Audax.

Audax Artifex était notre hôte des Daring Bakers pour le mois de Janvier 2012. Aud s'est donné à fond pour masteriser un scone (ou biscuit pour les américains) à la fois léger et moelleux pour nous aider à créer de parfaites et délicieuses fournées dans nos propres cuisines!

J'aimerais commencer en remerciant Audax de nous défier de préparer quelque chose de relativement simple en ces temps post-fêtes de résolutions non tenues. Je n'ai pas attendu le mois de janvier pour me dire que je devrais être plus sérieuse dans la réalisation de mes défis mensuels. Alors aujourd'hui, je présente fièrement mes petits scones que j'appellerai "bicuits" ou encore bisquits (ma moitié anglophone vient de Californie), qui étaient juste assez simples à réaliser pour me permettre de penser à d'autres types de résolutions.

Je n'ai fait qu'une fournée et l'ai faite aussi simple que possible. Maintenant que je sais à quel point c'est facile et rapide de les avoir sur ma table, le plus dur est fait (maintenant j'ai envie de faire ce que les Américains appellent des scones et que les autres anglophones appellent rock cakes). Je n'avais réellement aucune idée de ces histoires de dénomination et fus pour le moins choquée de mon ignorance, mais maintenant je sais quoi chercher dans des sites anglophones non américains! Encore merci, Audax.

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I made the recipe exactly as is, my new habit lately. I'm still quite the daring baker (in my dreams!!). Rather than focusing on nutritional balance, I try to focus on white balance and exposure. Have this simple treat with an exquisite chocolate/almond spread or home made or cottage industry jam.

J'ai réalisé la recette telle quelle, ma nouvelle habitude ces derniers temps. [je vais maintenant tenter de traduire des jeux de mots] Plutôt que de penser à la balance nutritionelle, je me dirige plutôt sur la balance des blancs et l'exposition. [Non, décidémént, en Français, c'est beucoup moins drôle] Mangez cette simple gourmandise avec un festin de chocolat et amandes à tartiner ou avec une confiture maison ou artisanale.

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Basic Scones (a.k.a. Basic Biscuits) recipe:


Servings: about eight 2-inch (5 cm) scones or five 3-inch (71⁄2 cm) scones Can be doubled

Ingredients
1 cup (240 ml) (140 gm/5 oz) plain (all-purpose) flour
2 teaspoons (10 ml) (10 gm) (1/3 oz) fresh baking powder
1⁄4 teaspoon (11⁄4 ml) (11⁄2 gm) salt
2 tablespoons (30 gm/1 oz) cold grated butter (or a combination of lard and butter)
Approximately 1⁄2 cup (120 ml) cold milk (Optional 1 tablespoon milk, for glazing the tops of the scones)

Directions:
1.    Preheat oven to very hot 475°F/240°C/gas mark 9.
2.    Triple sift the dry ingredients into a large bowl. (If your room temperature is very hot
refrigerate the sifted ingredients until cold.)
3.    Rub the frozen grated butter (or combination of fats) into the dry ingredients until it resembles
very coarse bread crumbs with some pea-sized pieces if you want flaky scones or until it
resembles coarse beach sand if you want tender scones.
4.    Add nearly all of the liquid at once into the rubbed-in flour/fat mixture and mix until it just
forms a sticky dough (add the remaining liquid if needed). The wetter the dough the lighter
the scones (biscuits) will be!
5.    Turn the dough out onto a lightly floured board, lightly flour the top of the dough. To achieve
an even homogeneous crumb to your scones knead very gently about 4 or 5 times (do not press too firmly) the dough until it is smooth. To achieve a layered effect in your scones knead very gently once (do not press too firmly) then fold and turn the kneaded dough about 3 or 4 times until the dough has formed a smooth texture. (Use a floured plastic scraper to help you knead and/or fold and turn the dough if you wish.)
6.    Pat or roll out the dough into a 6 inch by 4 inch rectangle by about 3⁄4 inch thick (151⁄4 cm by 10 cm by 2 cm thick). Using a well-floured 2-inch (5 cm) scone cutter (biscuit cutter), stamp out without twisting six 2-inch (5 cm) rounds, gently reform the scraps into another 3⁄4 inch (2 cm) layer and cut two more scones (these two scones will not raise as well as the others since the extra handling will slightly toughen the dough). Or use a well-floured sharp knife to form squares or wedges as you desire.
7.    Place the rounds just touching on a baking dish if you wish to have soft-sided scones or place the rounds spaced widely apart on the baking dish if you wish to have crisp-sided scones. Glaze the tops with milk if you want a golden colour on your scones or lightly flour if you want a more traditional look to your scones.
8.    Bake in the preheated very hot oven for about 10 minutes (check at 8 minutes since home ovens at these high temperatures are very unreliable) until the scones are well risen and are lightly coloured on the tops. The scones are ready when the sides are set.
9.    Immediately place onto cooling rack to stop the cooking process, serve while still warm.

Basic Scones (a.k.a. Basic Biscuits) recette:

Pour environ 8 scones de 5cm (2 pouces) ou 5 scones de 7 ou 8 cm (3 pouces)

Ingrédients
140 g de farine
2 cc de levure chimique (10 g, ≈ 1 sachet)
1/4 cc de sel fin
2 noisettes (30 g) de beurre froid (ou un mélange de beurre et de saindoux)
environ 120 ml de lait (+ 1 CS pour dorer le dessus, optionel)

Préparation
1.     Préchauffer le four à 475°C (chaud chaud!!)
2.     Passer la farine, la levure et le sel trois fois au tamis (pour aerer et pour bien mélanger)
3.     Malaxer le beurre du bout des doigts dans le mélange d'ingrédients secs jusqu'à obtention d'une consistance de chapelure épaisse si vous voulez des scones friables ou de sable épais si vous voulez des scones moelleux.
4.     Ajouter presque tout le lait d'une traite et mélanger jusqu'à obtention d'une pâte collante (rajouter du lait si besoin). Plus la pâte sera humide, plus les scones seront légers.
5.     Abaissez la pâte sur une surface légèrement farinée. Farinez aussi légèrement le dessus du pâton. Pétrir rapidement sans trop appuyer puis plier la pâte et pétrir trois ou quatre fois jusqu'à ce que la pâte soit lisse.
6.     Étaler la pâte avec les doigts pour obtenir un rectangle d'environ 15x10 cm sur 2cm d'épaisseur. Fariner un emporte-pièce de 5cm de diamètre et découper environ six ronds. Remanier les déchets de découpe pour faire les deux ronds restants (ces deux scones ne seront pas aussi légers et moelleux).
7.     Placez les ronds près les uns des autres et qui se touchent pour avoir des côtés moelleux, ou plus espacés pour avoir des côtés croustillants.
8.     Enfourner environ dix minutes, en vérifiant la cuisson au bout de huit minutes, on ne sait jamais. Ils doivent avoir bien levé et le dessus doit être légèrement coloré.
9.     Les mettre à refroidir sur une grille, servir encore chaud.

25 janvier 2012

Et P'is Phanie

Ah, une ou deux apostrophes en plus, et on pourrait avoir là le nom de l'enseigne du salon de coiffure du coin de la rue. Sauf que là il n'y a aucun jeu de mot. J'aurais pu viser le c.. de Fanny, vous savez, aux boules (je dirais plutôt pétanque, je ne veux pas attirer d'ésprits pervers). Mais je préfère rester sobre. Je rajoute une apostrophe dans "p'is", histoire de limiter encore la casse. (C'est foutu. Trop tard. Le mal est fait)

Sur une note plus enfantine, ça, eh ben, c'est les restes de la galette à la frangipane de la maman du chéri, na. Et comme le lendemain d'avoir mangé chez elle, le chéri et moi n'avons pas déjeuné, on a essayé de manger un goûter plus ou moins équilibré: compote de pommes express, dates, quelques amandes qui restent, des noisettes et pour se désaltérer, une tisane detox trouvée sur my little fabric puis re, re et re-trouvée en des dizaines de versions sur le net. Comme on fait avec ce qu'on a, j'y ai mis du jus d'orange au lieu du citron et ajouté des feuilles de menthe. (recette que j'ai moi-même déclinée tout au long des deux premières semaines de janvier).

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